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Environnement

Plan Climat Air Energie Territorial : participez à l’amélioration de votre qualité de vie !

Logement, transport, qualité de l’air… Participez à l’élaboration du Plan Climat Air-Énergie Territorial (PCAET) de Paris – Vallée de la Marne en répondant à notre questionnaire.

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Un PCAET pour améliorer la qualité de vie

D’ici fin 2019, l’Agglo approuvera un plan d’actions pour 2020-2026

Son but est de :

  • réduire les consommations d’énergies et les émissions de gaz à effet de serre,
  • développer des énergies renouvelables,
  • améliorer la qualité de l’air.

Les sujets abordés concernent votre quotidien, et notamment l’habitat et le transport.

Questionnaire en ligne

Jusqu’en août  2019, vous êtes invités à participer à l’élaboration de ce plan d’actions en répondant à un questionnaire en ligne accessible ici : https://www.dragnsurvey.com/survey/r/74a2d63

Un bilan de vos réponses sera publié à l’automne 2019 et celles-ci seront prises en compte lors de l’élaboration du plan d’actions.

Un diagnostic pour mieux connaitre le territoire

Paris - Vallée de La Marne a finalisé le diagnostic du territoire qui va permettre de développer le plan d’actions du PCAET. La synthèse de cet état des lieux est accessible ici.  Il vous donnera de multiples informations sur la consommation d’énergies du territoire, les émissions de gaz à effet de serre, et la qualité de l’air. Il vous permettra également de comprendre la marge d’évolution possible.

Quelques chiffres

  • 3/4  des logements ont été construits avant 1990 et ont potentiellement une facture énergétique elevée*
  • 43 % des déplacements réalisés en voiture font moins de 3 km
  • la facture énergétique du territoire est supérieure à 319 millions d’euros par an
  • 7% de l’énergie consommée sur le territoire est d’origine renouvelable (géothermie et bois énergie)
  • 3 polluants atmosphériques (qualité de l’air) dépassent les valeurs recommandées par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé)

Le diagnostic montre également que les effets du réchauffement sont déjà perceptibles sur le territoire : inondations, retraits/gonflement d’argile (apparitions de fissures dans les bâtiments), et augmentation des températures moyennes de +1,5°C entre 1959 et 2009. L’adaptation au changement climatique devra donc être un sujet central de la réflexion menée.

Un logement construit entre 1975 et 1988 consomme 1,5 à 3,5 fois plus d’énergie qu’un logement construit en 2001.

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